* Le verbe se conjugue à la 3ème personne du singulier.
* Lorsqu'il est facile de déterminer de façon précise que l'on parle d'une femme ou de plusieurs personnes, on est alors suivi du féminin ou du pluriel.
Exemples:
- Quand on devient maman, on* devient plus patiente.(Qui est-ce qui est patiente ? > on* et qui est-ce qui devient maman > on = sexe féminin). - Julie, qu'envisager quand on est reçue à ce concours ? (Nette identification du sujet au féminin singulier). - Pourquoi se disputer, vu qu'on est amis ? (La personne qui parle est un homme, et pour être "amis" il faut être au moins deux = pluriel et forcément masculin car il y a une personne mâle). - On est fatigués car la bataille fut rude. (Déclaraient des soldats : nous sommes fatigués...). - On semble heureuse de retrouver ses enfants. (Elle semble heureuse de retrouver ses enfants, ou encore, tu sembles heureuse de retrouver tes enfants). - On est toujours ravie d'être remarquée par les hommes. (Aucun doute, c'est une femme qui s'exprime). - On est venus avec le train. (Nous sommes venus avec le train, dit un père de famille accompagné des siens, arrivant chez des parents).
* Étymologiquement on signifie homme (du latin homo), ce mot latin "homo" a évolué de la façon suivante : hom, om, on. Ce pronom existe aussi en catalan, c'est le pronom "hom" dont il est facile de voir sa racine latine "homo".
* Hiatus de "qu'on" fort désagréable, auquel on remédie en le remplaçant par "que l' " : - Dès que l'on sera prêt, on partira - Dès qu'on sera prêt, on partira. Mais cette formulation ne se fait plus, si "le" se trouve après "on" : - On le dit et on le rappelle sans cesse.
"on-dit" > s'écrit avec un trait d'union et est invariable : - L'accusation ne repose que sur des on-dit.
"qu'en-dira-t-on ?" > s'écrit avec des traits d'union et est invariable : - Il faut savoir passer outre aux qu'en-dira-t-on.
Quand un pronom possessif se rapporte à "on" indéfini, il se met à la 3e personne du pluriel : - On doit assumer les conséquences de ses erreurs.
En langage familier, "on" est souvent mis en place de :
"tu" :On est contente ma chère sœur ? (Mis pour > tu es contente ma chère sœur). "je" : On remarquera que je me suis appliqué pour rédiger ce devoir. (Mis pour > je ferai remarquer que je me suis appliqué pour rédiger ce devoir). "nous" :On a gagné ! (Mis pour > nous avons gagné).
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Les significations du pronom “ON”
* On est toujours sujet de la phrase.
* Le verbe se conjugue à la 3ème personne du singulier.
* Lorsqu'il est facile de déterminer de façon précise que l'on parle d'une femme ou de plusieurs personnes, on est alors suivi du féminin ou du pluriel.
Exemples:
- Quand on devient maman, on* devient plus patiente. (Qui est-ce qui est patiente ? > on* et qui est-ce qui devient maman > on = sexe féminin).
- Julie, qu'envisager quand on est reçue à ce concours ? (Nette identification du sujet au féminin singulier).
- Pourquoi se disputer, vu qu'on est amis ? (La personne qui parle est un homme, et pour être "amis" il faut être au moins deux = pluriel et forcément masculin car il y a une personne mâle).
- On est fatigués car la bataille fut rude. (Déclaraient des soldats : nous sommes fatigués...).
- On semble heureuse de retrouver ses enfants. (Elle semble heureuse de retrouver ses enfants, ou encore, tu sembles heureuse de retrouver tes enfants).
- On est toujours ravie d'être remarquée par les hommes. (Aucun doute, c'est une femme qui s'exprime).
- On est venus avec le train. (Nous sommes venus avec le train, dit un père de famille accompagné des siens, arrivant chez des parents).
* Étymologiquement on signifie homme (du latin homo), ce mot latin "homo" a évolué de la façon suivante : hom, om, on. Ce pronom existe aussi en catalan, c'est le pronom "hom" dont il est facile de voir sa racine latine "homo".
* Hiatus de "qu'on" fort désagréable, auquel on remédie en le remplaçant par "que l' " :
- Dès que l'on sera prêt, on partira - Dès qu'on sera prêt, on partira.
Mais cette formulation ne se fait plus, si "le" se trouve après "on" :
- On le dit et on le rappelle sans cesse.
"on-dit" > s'écrit avec un trait d'union et est invariable :
- L'accusation ne repose que sur des on-dit.
"qu'en-dira-t-on ?" > s'écrit avec des traits d'union et est invariable :
- Il faut savoir passer outre aux qu'en-dira-t-on.
Quand un pronom possessif se rapporte à "on" indéfini, il se met à la 3e personne du pluriel :
- On doit assumer les conséquences de ses erreurs.
En langage familier, "on" est souvent mis en place de :
"tu" : On est contente ma chère sœur ? (Mis pour > tu es contente ma chère sœur).
"je" : On remarquera que je me suis appliqué pour rédiger ce devoir. (Mis pour > je ferai remarquer que je me suis appliqué pour rédiger ce devoir).
"nous" : On a gagné ! (Mis pour > nous avons gagné).